Migration et droits humains

Une société où chacun connait et jouit de ses droits.

Au niveau social, ASFADDI va appuyer les services sociaux à Genève à conseiller les étrangers déboutés dans leur recherche d’asile. Les familles en difficultés relationnelles mais aussi celles qui restent exclues du système suisse.

 

Une démarche de réinsertion sera initiée par nos experts en la matière et ces derniers resteront attentifs d’une part aux sollicitations des requérants et d’autre part à celles des autorités cantonales ou des communes voire même de la confédération pour sa connaissance du milieu africain.

 

La composition des membres d’ASFADDI lui prédispose à rester attentive notamment aux détresses des femmes, des jeunes sans repères pour leur installation et dans une moindre mesure, des vieux qui commencent à rester plus longtemps en Suisse que par le passé.

 

Pour la réintégration en Afrique.

Il est vrai que depuis 2005, des mesures politiques ont été prises avec un discours médiatiques en appui sur l’immigration afracaine. Et depuis, les interventions politiques, policières et diplomatiques se sont succédées en France et en Europe pour cibler prioritairement les migrants d’Afrique. Dans ce sens, la mise en place en 2005 de l’Agence Frontex (Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l’Union européenne) symbolise bien la volonté de protection des frontières extérieures de l’Union européenne (UE) . Le plus récent exemple est celui de l’accord passé entre l?Union Europeéenne et l’Union Africaine et en l’occurance le Rwanda (10 septembre) pour ramener dans ce drnier pays les migrants échoués partout en Europe ou aux frontières de l’Europe.

 

Une société où chacun connait et jouit de ses droits.

Au niveau social, ASFADDI va appuyer les services sociaux à Genève à conseiller les étrangers déboutés dans leur recherche d’asile. Les familles en difficultés relationnelles mais aussi celles qui restent exclues du système suisse.

 

Une démarche de réinsertion sera initiée par nos experts en la matière et ces derniers resteront attentifs d’une part aux sollicitations des requérants et d’autre part à celles des autorités cantonales ou des communes voire même de la confédération pour sa connaissance du milieu africain.

 

La composition des membres d’ASFADDI lui prédispose à rester attentive notamment aux détresses des femmes, des jeunes sans repères pour l’installation des jeunes et dans une moindre mesure des vieux qui commencent à rester plus longtemps en Suisse que par le passé

Intégration en Suisse

Que faire, par qui, comment et avec quels moyens.

 

Réintégration en Afrique

Les migrations africaines d’origine subsaharienne occupent aujourd’hui une place dominante dans les discours politiques et médiatiques portant sur l’immigration. Et depuis, les mesures politiques, policières et diplomatiques se sont succédées en France et en Europe pour cibler les priorités d’action sur l’Afrique et la Méditerranée : la mise en place en 2005 de l’Agence Frontex (Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l’Union européenne) symbolise bien la volonté de protection des frontières extérieures de l’Union européenne (UE) de ce que certains qualifient d’une véritable « invasion africaine » (de Haas, 2008).

 

Et pourtant lorsque l’on observe l’immigration asiatique et interueropéenne, ces inquiétudes et autres préoccupations politiques semblent très éloignées de la réalité statistique observée. Les migrations africaines semblent minoritaires surtout que les chiffres cachent en même temps ceux qui repartent vers l’Afrique pas nécessairement danskeurs pays respectifs de départ mais aussi dans les autres pays de sa région.

 

Les migrations africaines sont souvent présentées en termes d’immigration, ce qui revient à les considérer comme un mouvement d’entrée à sens unique et à caractère définitif dans les pays développés en particulier. En dehors des retours forcés (mesures d’éloignement et de refoulement), les migrants africains s’installent-ils durablement là où ils migrent ou rentrent-ils dans leur pays d’origine. Cette situation est san doute due au fait que peu de statistiques existent dans les pays d’accueil africains mais aussi elle serait due au fait ce pays ne sentant pas obligés d’assurer ni la protection ni le bien être de ces nouveaux venus, ils ne voient pas l’importance de les signaler

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